Christian Estrosi compare Médiapart à "une certaine presse des années 30"

Publié le par Adriana EVANGELIZT

Et Estrosi qui s'en mêle ! Il est vrai qu'avec toutes les casseroles qu'il se trimballe,  il ne peut pas faire autrement que soutenir les mafieux. C'est certain. Il fait partie de ce clan d'escrocs en col blanc qu'aucun voyou d'honneur ne pourrait fréquenter. Et s'il y a des braquages d'ailleurs, des perceurs de coffres ou de tunnels menant à des chambres fortes, dites-vous bien que souvent c'est par dégoût de voir ce qui se passe en haut de l'échelon que l'on devient voyou. Seulement, les malfrats étatiques, eux, volent des millions voire des milliards sans faire un seul jour de taule. Voilà la Justice dans cette société. Et croyez qu'il faut plus de courage pour braquer une banque ou se la jouer à la Spaggiari que ces profiteurs sans principes qui vivent sur le dos des peuples. Estrosi en est l'exemple type. Lui qui clame qu'il n'y a pas de pauvres en France. Il ferait mieux de se taire car les individus de sa sorte, non seulement devraient être interdits de tenir un quelconque poste dans la République car ils n'ont aucune morale et aucune moralité mais, de surcroît, ils n'ont aucune leçon à donner à quiconque. Il peut toujours cracher sur Edwy Plenel, il ne lui arrive pas à la cheville.  Les Peuples vous jugent, élus ripoux, vous ne pouvez plus cacher ce que vous êtes. Tous autant que vous êtes, vous feriez mieux de quitter la scène car vous n'êtes plus crédibles, si vous ne l'avez jamais été. Mais il n'est pas dit d'ailleurs que cela ne se fasse pas. Sarkozy est assis sur un siège tremblant. Qu'il se le dise...

  

 

 

 

 

Christian Estrosi compare Médiapart
 
 à "une certaine presse des années 30"
 
 
 
 
PARIS — Le ministre de l'Industrie Christian Estrosi s'en est pris mercredi au site d'information Médiapart qui a publié des informations mettant en cause le ministre du Travail Eric Woerth et le président Nicolas Sarkozy, affirmant qu'il lui "rappelle une certaine presse des années 30".

 

"Qui a apporté une preuve ?" contre Eric Woerth, s'est insurgé M. Estrosi sur France Info, visant Médiapart dont, selon lui, "l'un de ses responsables, Fabrice Lhomme (ndlr: a dit): +nous n'avons aucune preuve mais ça paraît plausible+".

 

"Lorsque je vois ce fameux site là qui me rappelle dans son comportement une certaine presse des années 30. (...) Je veux que la déontologie et l'éthique des journalistes comme des hommes politiques sachent jusqu'à quel point on peut se faire les rapporteurs de quelqu'un qui dit +c'est peut-être plausible mais je n'ai aucune preuve+", a-t-il insisté.

M. Estrosi a également dénoncé le "populisme ambiant qui favorise les montées de l'extrême-droite comme on l'a vu à d'autres époques de notre pays".

 

"J'ai en mémoire Clemenceau (ndlr: qui s'était retiré de la politique dans les années 20), Salengro, plus proche de nous Bérégovoy (ndlr: qui se sont suicidés)", a-t-il ajouté.

 

Il a toutefois reconnu que c'était "une parole contre une autre parole", entre celle du ministre Eric Woerth et celle de l'ex-comptable de l'héritière de L'Oréal Liliane Bettencourt.

 

Dans une interview à Médiapart, l'ex-comptable de l'héritière de L'Oréal Liliane Bettencourt, Claire T. affirme qu'Eric Woerth a reçu, en tant que trésorier de l'UMP, la somme de 150.000 euros en liquide pour financer la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy au printemps 2007.

 

Médiapart, comme l'hebdomadaire Le Point, avaient auparavant publié des extraits d'enregistrements pirates laissant percevoir des relations troubles entre Mme Bettencourt et Eric Woerth, dont l'épouse a démissionné récemment d'une entreprise qui gérait la fortune de Mme Bettencourt.

 

Sources AFP

 

Posté par Adriana Evangelizt

Publié dans LES HOMMES DE LA BÊTE

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