La folie des grandeurs de Sarkozy, quand il présidait l'UE

Publié le par Adriana EVANGELIZT

"Travaillez Français... prenez de la peine... c'est le fond qui manque le moins" pourrait être la devise de Sarkozy. Franchement, il va falloir que ça s'arrête. Quand on sait combien les gens ont du mal à joindre les deux bouts, toute cette gabegie donne envie de gerber. Franchement, je le dis comme je le pense, je ne peux plus supporter tous ces suceurs de peuples. On se croirait revenu au temps de Louis le quatorzième. En haut, ça se pavane et ne se prive de rien, en bas, ça sue sang et eau pour ne pas y arriver. 171 millions d'euros dépensés en six mois par le grand chambellan qui tient la caisse de la France. Et juste 16,6 millions d'euros pour organiser la rencontre Bachar El Assad-Olmert... diantre ! Pourquoi se priver quand c'est les autres qui payent ? Ah croyez bien que Sarkozy aime Mamon, le dieu Fric. Il n'est pas comme Yeshoua, lui ! Non. Le pauvre, l'opprimé, l'orphelin, ça passe bien après ses lubies. Il devrait se souvenir de ce que chantait Brel... faut pas jouer les riches quand on n'a pas le sou...




La folie des grandeurs de Sarkozy, quand il présidait l'UE


Mediapart s'est procuré le rapport de la Cour des comptes qui décortique – et critique – les dépenses engagées lors de la présidence française de l'Union européenne. Au total, 171 millions d'euros ont été dépensés en six mois: 1 million par jour... La Cour des comptes s'interroge sur plusieurs opérations. Elle pointe ainsi une «programmation excessivement touffue», «la multiplication et le coût parfois élevé des opérations», le caractère «parfois dérogatoire, voire irrégulier, des procédures suivies», et «l'utilité publique variable» de toute cette machinerie. Mediapart s'attarde sur trois exemples et publie l'intégralité de ce rapport.

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SARKOZY dépense 171 millions d’Euros pendant la présidence française de l’U.E !


Alors qu’en moyenne la dépense pendant la présidence tournante des chefs d’Etat, s’élève entre 70 et 80 millions d’euros, l’on a encore une fois l’illustration du narcissisme ostentatoire du Président de la République et sa mégalomanie dépensière puisque que MEDIAPART, vient de révéler sur internet, le rapport d’enquête de la cour des comptes consacré au budget de la présidence française de l’ Union Européenne qu’il vient de remettre à la commission des finances du sénat qui l’avait commandée en octobre 2008.

L’on apprend ainsi que les six mois de la présidence française auront coûté la bagatelle de 171 millions d’euros du 1 juillet au 31 décembre 2008 avec en point d’orgue le repas offert à 43 chefs d’Etats étrangers, lors du sommet de lancement de l’Union pour la Méditerranée) qui a coûté 1.010.256 euros.

Dans ce document d’une centaine de page qui pointe « la multiplication et le coût parfois élevé des opérations », le caractère « parfois dérogatoire, voire irrégulier, des procédures suivies » l’on apprend ainsi que le ballet diplomatique des 13 et 14 juillet pour l’Union pour la Méditerranée ayant permis au président, pour sa plus grande gloire, de réunir l’Israélien Ehoud OLMERT à la même table que le syrien Bachard EL-ASSAD aura coûté 16,6 millions d’euros.

« Les prestations requises pour la circonstance ont été considérables » écrit la cour des comptes qui note que le grand palais a été réaménagé du sol au plafond pour 3 heures de réunion.

Et la cour d’évoquer l’installation de « huit salons d’entretiens bilatéraux (avec salle de douche attenante), 32 cabines d’interprétation, la climatisation d’un espace immense et complexe pour 300 personnes….. »

L’on apprend ainsi par exemple, une facture de 91.456 euros pour l’installation d’une éphémère moquette ou bien 136.895 euros pour le fond de la scène et encore 194.977 euros pour les jardinières et les 16 monolithes. L’auteur du rapport d’écrire : « il faut souligner que tous les aménagements en question ont été démontés dès le lendemain du sommet et n’ont pas été repris ou réutilisés par l’administration ».

Comme le dit Philippe SEGUIN « cet exemple illustre le fait que les coûts importants générés par la présidence française l’auront été sans aucun retour sur investissement, s’agissant d’équipement publics ».

Jean ROSTAND écrivait : « l’obligation de subir, nous donnes le droit de savoir » mais aussi pour les patriotes sincères, l’impérieuse nécessité de réagir en votant utile pour les listes Front National aux élections régionales de mars 2010.

Jean-Luc MANOURY

Posté par Adriana Evangelizt

Publié dans LES HOMMES DE LA BÊTE

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