Les farines animales dans l'alimentation de la volaille

Publié le par Adriana EVANGELIZT

Et pour confirmer l'article précédent et qui montre bien la politique appliquée. Les volailles et les porcs mangent encore des farines animales, il est donc normal que la pseudo grippe aviaire dont on ne sait d'où elle vient ait la même origine que la maladie de la vache folle, mais on nous fait croire dieu sait quoi...

Article du Parisien paru le 3 février 2000

Ni le gouvernement ni les industriels des aliments pour animaux n'envisagent de supprimer rapidement les déchets d'abattoirs qui entrent (dans une faible proportion *) dans le menu des porcs et de la volaille.

Les farines animales ont la peau dure

 

LES POULETS et les porcs risquent de manger encore longtemps des farines animales. Malgré les scandales qui ont éclaboussé l'alimentation animale (la présence de boues d'épuration ou de dioxine dans la nourriture de volailles, par exemple), les professionnels, qui présentaient hier des mesures destinées à « assainir » leur filière, n'envisagent pas de supprimer totalement ces farines de la composition des aliments qu'ils fabriquent. Sauf, assurent-ils, si le gouvernement leur en donne l'ordre (Commentaire cdcp : un politique n’est pas un consommateur ?). Pourtant, depuis le scandale des farines animales, les associations de consommateurs réclament leur interdiction définitive pour tous les élevages. Preuve que le sujet est préoccupant : Jean Glavany, ministre de l'Agriculture, a demandé sur cette question l'avis de plusieurs experts (Quand on veut contrer la volonté populaire sans devoir perdre son poste, on nomme un ou plusieurs experts ; même si le peuple s’exprime majoritairement, ce sont les experts qui ‘décident’) . Un avis qui tarde à venir. Certes, la solution n'est pas simple. Les farines de viande sont en effet très riches en protéines et seul le tourteau de soja possède des qualités identiques. Or, en utiliser davantage implique une augmentation des importations. Car en raison d'accords internationaux, la France ne peut cultiver que 5 % de ses besoins. Tout le reste vient principalement du continent américain qui produit surtout du soja... génétiquement modifié (vive l’OMC !). Pouvoirs publics, professionnels et chercheurs de l'Inra (grand cultivateur d’OGM) planchent actuellement sur la possibilité de mettre au point une filière d'aliments sans OGM (= n’implique pas ‘naturel’…). La réponse est attendue pour l'automne.

 

 (*) Même en faible proportion, l’arsenic, le curare tuent. Autre exemple de ‘faible proportion’, donner une faible proportion de ceci + une faible proportion de cela + etc. Comme d’habitude, chacun prêche pour son église. Quand va t-on se décider à envisager GLOBALEMENT les choses ?

 

Quand va t-on envisager GLOBALEMENT l’Homme ?

 

Une faible proportion de monoxyde + une faible proportion de radioactivité + une faible proportion d’OGM + une faible proportion de vaccin, d’antibiotiques, de stress, de mal bouffe, de benzodiazépine, de pilule, d’eau polluée, d’ozone, çà donne quoi ?

Sources :  CDCP

Posté par Adriana Evangelizt

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