La spolliation du Peuple Allemand au nom de l'Holocauste

L'argent de l'Holocauste revient sur le tapis. The money for the surviving victimes dont nous vous avons parlé ICI et ICI, continue d'alimenter les caisses sionistes qui malgré tout en manquent puisque 250 000 survivants vivent toujours dans la misère. A tel point que l'Impie Rafi Eitan -que le Tout-Puissant se penche sur son cas- a osé demandé que l'Allemagne paye davantage que ce qu'elle paie déjà pour que les rescapés vivent décemment. Comme s'il était normal que les contribuables Allemands -qui n'étaient pas né lors de la dernière guerre- continuent de cracher au bassinet pour les crimes d'Hitler et de sa clique. Est-ce que le Liban a demandé des réparations à la Horde Sioniste ? Et l'Irak... qui paiera ? Quand on sait qui a poussé à la roue ? Et la Palestine ? A combien se monte la dette des affameurs, colonisateurs, exterminateurs ? Ah pour demander de l'oseille aux autres, ils sont forts, ces Imposteurs !

Car vos mains sont souillées de sang,
Et vos doigts de crimes;
Vos lèvres profèrent le mensonge,
Votre langue fait entendre l'iniquité.
Nul ne se plaint avec justice;
Nul ne plaide avec droiture;
Ils s'appuient sur des choses vaines et disent des faussetés,
Ils conçoivent le mal et enfantent le crime.
2 Esaïe 59 : 3, 4

Norman Finkelstein a raison lorsqu'il dit que l'industrie de l'Holocauste est devenue purement et simplement une entreprise d'extorsion de fonds, de la part de diverses organisations sionistes, nous permettons-nous d'ajouter. Car par un grand truquage, les dons ne furent pas affectés aux victimes mais... Par un manquement flagrant à sa lettre et à son esprit, elle affecta l'argent à la réinsertion non des victimes juives, mais des communautés juives. De fait, un des principes dirigeants de la Conférence des réclamations était l'interdiction d'utiliser l'argent sous forme "de dons directs aux individus". Dans un exemple parfait de "charité qui commence par soi-même", cependant, la Conférence a fait exception pour deux catégories de victimes: les rabbins et les "dirigeants juifs de premier plan"; ils ont reçu des dons individuels. Et c'est là que l'on voit que c'est bien le sionisme qui règne sur le Peuple juif. Il est toujours en servitude. Car donner l'argent aux rabbins talmudistes et aux dirigeants sionistes, est tout un symbole. Une fois de plus on se fait des milliards et sur le dos des Juifs et sur le dos des Peuples du monde ou goys. Ils ont, de toute façon, fait d'Israël une prostituée... c'est écrit dans le Talmud... et encore ils s'en vantent !

"Israël ressemble à la dame de la maison
à laquelle le mari apporte l'argent.
Ainsi est Israël : sans avoir la charge du travail,
il reçoit l'argent des peuples du monde."
Talmud, Jalkut Sim, 75a.

Norman Finkielstein et tous les Juifs qui dénoncent le Sionisme sont les Yeshoua des temps modernes en lutte contre le pharisianisme qui asservit le monde. Leur épée est aiguisée contre la Bête et contre tous ceux qui la servent car...

Ils couvent des œufs de basilic,
Et ils tissent des toiles d'araignée.
Celui qui mange de leurs œufs meurt;
Et, si l'on en brise un, il sort une vipère.
Leurs toiles ne servent point à faire un vêtement,
Et ils ne peuvent se couvrir de leur ouvrage;
Leurs œuvres sont des œuvres d'iniquité,
Et les actes de violence sont dans leurs mains.
2Esaie: 59 : 5, 6

Ils ont réussi à inverser les valeurs. A glorifier le Crime et le vol qu'il pratiquent en toute légalité. S'enrichissent sur la Charité, asservissent le Peuple à de fausses religions et des idéologies vénéneuses. Méfie toi d'eux Frère... car en perdant ton corps c'est ton âme qu'ils damnent...

Leurs pieds courent au mal,
Et ils ont hâte de répandre le sang innocent;
Leurs pensées sont des pensées d'iniquité,
Le ravage et la ruine sont sur leur route.
Ils ne connaissent pas le chemin de la paix,
Et il n'y a point de justice dans leurs voies;
Ils prennent des sentiers détournés:
Quiconque y marche ne connaît point la paix.
2 Esaïe 59 : 7, 8

Spolliation du Peuple Allemand : débat en Israël

 " Le dossier sensible des réparations allemandes aux rescapés juifs de la Shoah est à l'origine d'une vive polémique déclenchée en Israël par un appel à rediscuter un accord datant d'un demi-siècle.

L'affaire, qui prend des allures de scandale, a éclaté au début de la semaine lorsque le ministre des Retraités Rafi Eitan, chargé des discussions avec l'Allemagne sur les réparations aux juifs après la Seconde guerre mondiale, a annoncé qu'il souhaitait dépoussiérer ce dossier.
Le ministre a aussitôt été la cible de vives critiques, les médias l'accusant de vouloir soutirer de l'argent à l'Allemagne sans justification, alors qu'Israël a les moyens d'aider les rescapés.

M. Eitan a fait valoir qu'il souhaitait renégocier des points ne figurant pas dans l'accord datant de 1952 à l'occasion de la visite prévue fin novembre du ministre allemand des Finances, Peer Steinbruck.
Il a expliqué que l'accord conclu à l'époque à Luxembourg n'avait pas pris en compte l'allongement de la durée de vie des rescapés, ni l'immigration en Israël de 175.000 survivants en provenance des pays de l'ex-URSS.

"Le gouvernement israélien verse chaque année 2,25 milliards de shekels (560 millions de dollars) pour les rescapés de la Shoah, l'Allemagne pourrait prendre en charge une partie de ces dépenses", a souligné M. Eitan.
"J'ai proposé la création d'une commission composée d'experts des deux pays et des représentants des survivants qui présenterait ses recommandations au gouvernement allemand", a ajouté M. Eitan.
Selon lui, "la responsabilité de l'Allemagne sera engagée jusqu'à ce que le dernier rescapé disparaisse".

Ces arguments ont été très vivement dénoncés en Israël.
Dans un éditorial intitulé "Une dette qui ne peut se régler avec de l'argent", le quotidien libéral Haaretz affirme que "les justifications financières utilisées par Rafi Eitan sont à la fois embarrassantes et dégoûtantes".

Le quotidien Maariv publie pour sa part une caricature dans laquelle on voit Rafi Eitan en train de traire l'aigle, symbole de l'Allemagne, qui fait une grimace.
A la radio militaire, l'écrivain Yoram Kaniouk a proclamé "qu'Auschwitz ne peut devenir un moyen de recueillir de fonds, la souffrance des juifs pendant la deuxième guerre mondiale ne peut être guérie par l'argent".
Aviv Drucker, commentateur politique de la chaîne de télévision privée "10", a déclaré éprouver de la "honte de voir Israël, un pays riche, demander l'aumône une nouvelle fois à l'Allemagne".

Plus prudent, Noah Flug, président de l'association qui chapeaute toutes les organisations de rescapés de la Shoah vivant en Israël, soit environ 250.000 personnes, estime que "mieux vaut agir dans la discrétion".
"Chaque année nous participons à une conférence avec les représentants du gouvernement allemand. C'est dans ce cadre qu'il faut résoudre les problèmes qui apparaissent avec le vieillissement des rescapés qui ont de plus en plus besoin de soins médicaux et de médicaments", a déclaré à l'AFP M. Flug.
"Le gouvernement allemand actuel n'est pas coupable des crimes nazis, mais il doit continuer à assumer ses responsabilités", a ajouté M. Flug, lui-même un survivant de l'Holocauste.

Il a précisé que 20.000 rescapés perçoivent une rente de 440 euros au minimum et de 550 euros en moyenne. Trente mille autres arrivés en Israël après la signature du traité de Luxembourg de 1952 touchent pour leur part une allocation de 270 euros.
Selon lui, chaque Allemand a déjà versé l'équivalent de 800 euros d'indemnisation "pour un total de 65 milliards d'euros".
"Mais cette somme, aussi énorme qu'elle puisse paraître, ne compense qu'une infime partie des crimes et des pertes matérielles endurés par les juifs durant la deuxième guerre mondiale", conclut-il."

Sources Et Tutti Quanti

Une «dette» très sensible revient sur la table

Pour Rafi Eitan, « la responsabilité de l'Allemagne sera engagée jusqu'à ce que le dernier rescapé disparaisse ».

La question des réparations allemandes aux rescapés juifs de la Shoah reste délicate. Un ministre israélien veut rediscuter un accord vieux d'un demi-siècle. La presse l'accuse de vouloir soutirer de l'argent à l'Allemagne.

L'affaire a éclaté au début de la semaine lorsque le ministre des Retraités Rafi Eitan, chargé des discussions avec l'Allemagne sur les réparations aux juifs après la Seconde guerre mondiale, a annoncé qu'il souhaitait dépoussiérer ce dossier.

A l'occasion de la visite prévue fin novembre du ministre allemand des Finances Peer Steinbruck, M. Eitan veut renégocier l'accord conclu en 1952 à Luxembourg. Selon lui, ce texte n'avait pas pris en compte l'allongement de la durée de vie des rescapés, ni l'immigration en Israël de 175 000 survivants en provenance des pays de l'ex-URSS.

« Le gouvernement israélien verse chaque année 2,25 milliards de shekels (390 millions d'€) pour les rescapés de la Shoah, l'Allemagne pourrait prendre en charge une partie de ces dépenses », a dit M. Eitan. « J'ai proposé la création d'une commission composée d'experts des deux pays et des représentants des survivants qui présenterait ses recommandations au gouvernement allemand ».

Ça ne peut se régler avec de l'argent, selon Haaretz


Ces arguments ont été très vivement dénoncés en Israël. Dans un éditorial intitulé « Une dette qui ne peut se régler avec de l'argent », le quotidien libéral Haaretz affirme que « les justifications financières utilisées par Rafi Eitan sont à la fois embarrassantes et dégoûtantes ». Le quotidien Maariv publie une caricature dans laquelle on voit le ministre en train de traire l'aigle. Aviv Drucker, commentateur politique, dit éprouver de la « honte de voir Israël, un pays riche, demander l'aumône une nouvelle fois à l'Allemagne ».
Noah Flug, président de l'association qui chapeaute toutes les organisations de rescapés de la Shoah vivant en Israël, soit environ 250 000 personnes, prône la discrétion : « Chaque année nous participons à une conférence avec les représentants allemands. C'est dans ce cadre qu'il faut résoudre les problèmes apparaissant avec le vieillissement des rescapés ».
Selon lui, vingt mille rescapés perçoivent une rente de 440 € au minimum et de 550 € en moyenne. Trente mille autres arrivés en Israël après la signature du traité de Luxembourg de 1952 touchent une allocation de 270 €. Chaque Allemand a déjà versé l'équivalent de 800 € d'indemnisation pour un total de 65 milliards d'€, dit M. Flug : « Cette somme, aussi énorme qu'elle puisse paraître, ne compense qu'une infime partie des crimes et des pertes matérielles endurés par les juifs ».

Sources DNA

250 000 réscapés vivent dans la pauvreté :

 l'Allemagne va revoir le montant des allocations

Le ministre des Finances allemand, Peer Steinbrueck, a fait une brève visite en Israël. Il a rencontré une délégation de l’association des rescapés de la Shoah ainsi que leur Président Noah Flug.

Guysen News à Tel-Aviv : “Nous allons parler de la situation des survivants. Nous ne demandons rien. Nous présentons simplement la situation et les problèmes qui sévissent en Israël” a déclaré Noah Flug.

Un tiers des retraités sont des survivants de l’Holocauste, et les récents rapports ont montré que 250 000 d’entre eux vivent dans la pauvreté.

Peer Steinbrueck a rencontré le ministre des Retraités, Rafi Eitan, qui avait fait polémique en affirmant qu’il fallait réviser la loi de 1952 qui fixait les allocations à délivrer aux survivants de la Shoah.

Le ministre allemand a rencontré son homologue israélien Ronnie Bar-On, ainsi que le gouverneur de la Banque d’Israël, le professeur Stanley Fisher.

Les autorités allemandes ont déclaré qu’à l’issue de ce voyage, l’Allemagne pourrait envisager d’augmenter les subventions qu’elle délivre actuellement aux survivants israéliens.

Sources Israel Valley

Posté par Adriana Evangelizt