Deux homosexuels, retrouvés morts en 2009, avaient été enterrés vivants

Publié le par Adriana EVANGELIZT

Voilà où mène la STIGMATISATION des gens qui ne vivent pas comme la masse ordinaire. On enterre des homos vivants, on roue de coups un vigile musulman puis on le jette à l'eau. On supprime ce qui ne nous ressemble pas au lieu de le comprendre. Les fascistes se sont toujours crus meilleurs que les autres, coincés qu'ils sont dans leurs principes étriqués, leurs préjugés raciaux et leur Inculture totale de l'Histoire de l'Humanité. Ceux-là sont en pleine régression alors qu'ils se pensent supérieurs aux autres. Leur vision est faussée. Leur niveau de Conscience se situe au ras des pâquerettes mais ils se croient Eclairés parce qu'ils conduisent des aveugles, comme il est écrit...

 

... Toi qui te flattes d'être le conducteurs des aveugles, la lumière de ceux qui sont dans les ténèbres... Romains 2:19

 

 

 
 
Deux hommes, retrouvés morts en 2009, avaient été enterrés vivants
 
 
 

Les deux hommes vivant en couple, disparus le 7 mars 2009 dans un village du Cher et retrouvés morts près de trois mois plus tard à La Charité-sur-Loire (Nièvre), ont été enterrés vivants, a-t-on appris jeudi auprès du parquet de Bourges.

 

 

Les corps de Luc Amblard, 56 ans, et Guy Bordenave, 39 ans, entrepreneurs de spectacles habitant le village de Couy (360 habitants), avaient été retrouvés le 4 juin assis, ligotés, bâillonnés et enterrés dans un trou de 1,20 m à 1,50 m de profondeur près de la Loire.

 

"Selon un des deux mis en examen, les victimes auraient été ensevelies vivantes et seraient donc décédées étouffées", a indiqué Eric Mathais, procureur de la République de Bourges lors d'une conférence de presse.

 

"Ces éléments sont confirmés par l'autopsie. On n'a trouvé ni trace de coup de feu, ni trace de violence, ni alcool, ni drogue. Les victimes se sont vues mourir", a ajouté le magistrat à l'issue d'une journée de reconstitution pour "vérifier les versions des deux accusés, lesquelles divergent".

 

Les deux hommes mis en cause, âgés de 53 et 37 ans, dont l'un connaissait l'une des victimes, avaient été interpellés le 1er avril 2009, l'un dans un village du Cher, le second dans les Landes. L'un des deux avait indiqué aux enquêteurs l'endroit où trouver les corps.

 

Les deux hommes, connus des services de police, ont été mis en examen et écroués pour "enlèvement, séquestration, suivis de mort".

 

Le mobile pourrait être crapuleux ou avoir comme origine la haine nourrie à l'égard d'une des deux victimes, toujours de même source.

 

Le procès pourrait se tenir dans un an. Les deux hommes encourent la réclusion criminelle à perpétuité.

 

Sources AFP

 

Posté par Adriana Evangelizt

 

 
 

Publié dans LES HOMMES DE LA BÊTE

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